Je ne sais plus ce que j'ai cherché
Pourquoi les choses les plus importantes sont-elles c'elles dont on a le plus de mal à ce rappeler?
comment retrouver les petits bonheurs si simples qui suffisaient à nous combler dans l'enfance?
Où sont passés les suères des sens que jadis je donnais aux notions de la vie que je qualifierais maintenant d'immuable et insubstancielles?
Qui peut dissiper le gouffre qui planent dans nos vies comme une fumé qui se glisse au fil des années dans nos coeur et devient mélancolie; maladie impénétrable et incurable que l'on ne peut définir que par son caractère infini?
Quand fleurirons-t-elles, dites moi, les fleurs du sens qui se cachent dans la nature, la substance même de la vie?
Je reste là , lasse les yeux entrouvert, le coeur éteint pendant que s'allume l'astre à lauré du fleuve, fleuve imaginaire que je ne perçoit que sous la brume de mes pensées, fleuve qui, farouche s'en va, puis revient, puis me laisse encore. Seul...
Seul devant la fenêtre, cette fenêtre qui n'existe qu'en matière et non en substance, sans réalité cette vitre s'oppose cependant à moi.
je le reverrai, qu'importe.
La parole est une braise qui se meure au moindre souffle
insignifiante pourtant, elle peut engendré tant de bonheur bien qu' éphémère.
Et le bonheur, le sourire de cette inconnue sur ce dessin, ceux-ci n'existent que si l'on ce souvient,
on percévair et on tante de ce souvenir des choses importantes:
LA VIE
LA VIE
la vie qui donne la joie, qui donne la peine et la mort
la vie encore dans toutes ces petites choses que l'enfant qui ne fait que les découvrir lui, sait apprécier à sa juste valeur.
pour moi c'est ça le bonheur :
le souvenir et l'oubli
le souvenir et l'oubli
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